Afro Jazz
Không rõ
Glouglou Play
DADDY:
La tête inclinée en arière, les yeux rivés sur le goulot,
Le liquide coule tandis que l'homme se saoule.
Refoule tout les principes de foi,
Avec une amertume fine et savoureuse à la fois.
Une chose est sure en tout les cas,
C'est que le buveur est bien sséca.
Allongé à même le sol, il dort comme sur un matelas Trecca.
Assouvit son vice, paye teillebou sur bouteille, boit tout son oseille.
Pour une goutte d'alcool, alcoolo vendrait sa vieille,
Et c'est tipar facon barbare,
Alcooliquement génial, il décolle comme un Alkorak.
Élève son mental vers la verticale,
À une vue de la capitale, encore plus haute que la FL tower.
Noie ses décéptions son desarroi,
Boit le liquide du chétane, ravale sa foi.
Ne marche pas droit, accro du goulot,
Reviens un peu sur terre avant que tout tes potes te disent "va fan culo" et médite.
REFRAIN:
Glou play, c'est que glou glou play.
ROBO:
Rongé par l'alcool, il a de maigres guiboles,
Pour avancer jusqu'au bar, jusqu'a son air d'envol.
Il fait glisser l'un après l'autre ses pieds sur le sol,
Majeur mais fragile comme un gosse, Balbo se console.
Pour ne pas dire se foncedère à le bière,
Boisson contenue dans un récipient oblongue qui le conduira à la bière.
Car pris sur les charmes que lui procure cette ivresse,
Le Balbo s'abandonne à toutes les sortes de bassesses, de faiblesses.
Bless son entourage, amical, familial,
La filial du dit alcoolo, est un bien lourd fardeau.
REFRAIN
JAHYZE:
Glouglou play n'est pas un hymne franchouillard qui inciterait à boire,
Au contraire, si tu savais mon gai gaillard.
À la fois désir morbide innée et vide qu'il voudrait combler,
Laisser choir ses déboires, boire jusqu'à déborder.
Jusqu'au coma éthylique comme à l'accoutumé,
Longtemps ce saoulard présumé a cru qu'il maitrisait alors qu'en résumé,
Plus de méfaits que de bienfaits, c'est tout l'effet que ca lui fait.
Glou play, c'est que glouglou plait,
Il lui faut son tord boyaux, alcool ou peu importe, alcali,
Puisqu'il sait qu'il s'est si souvent lissé qu'il s'est sali.
Chez lui on dit: Boire c'est quelque part souiller ses propres racines,
Emprisonner sa liberté dans le fond de sa bouteille de bibine.
Sectionner soi même ses orteils, c'est carré mandingue!
Lui se fout de ces combines et continue de faire la bringue.
Un peu de fléxibilité entre nos us et coutumes, s'il vous plait,
En ceci se résume, je présume ce fait.
REFRAIN